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Chapitre un : au recommencement

  • Tomtomsail
  • 22 août 2019
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 8 oct. 2019

le 1er avril 2019 ;

Non ce n’est pas une blague !

Je reprends la plume pour faire un point sur ma vie, pour me dire où j’en suis.

La dernière année a été dure comme un long chemin semé d’embuches.

Je ne sais pas si je vais pouvoir raconter les tristes journées passées à lutter et ma quête actuelle de reconstruction.

Tellement cela a été difficile et l’est encore bien qu’un peu moins.

Reprenons l’historique brièvement avant d’entamer son récit.

3 mars 2016 : arrêt maladie

1er janvier 2017 : 1ère visite chez le médecin du travail pour entamer procédure de licenciement pour inaptitude

15 janvier 2017 : 2ème viste chez le médecin du travail qui me déclare inapte.

Recherche par mon employeur d’un poste adapté sans succès.

Avril 2017 : licenciement pour inaptitude à mon poste.

J’ai peu de souvenirs de 2017, mais 2018 fut une des années les plus difficiles à vivre que j’ai connu et aujourd’hui j’en ai encore les stigmates.

Voici son histoire commencée mi 2017 de ce que je m’en souviens.

Les angoisses m’assaillirent tellement après le licenciement de mon directeur qui me protégeait et qui était au courant de ma pathologie en janvier 2016

Les angoisses s’étaient abattues sur moi un mois de janvier 2016 et ne me quittèrent plus. J’ai peur de tout !


Voir mon entourage, des personnes connues et aimantes comme mes beaux parents me posait problème. J’ai du me battre contre ce sentiment de doute, ces angoisses handicapantes. Je savais au fond de moi que c’était un leurre, un mirage qui voulait me faire douter de tout, mais il était plus fort que moi.

Je projetais la très négative image de moi que j’avais à cette époque sur toutes les personnes familières. Je me rabaissais, comme incapable de faire quoi que ce soit, et je paniquais ne pouvant même pas accepter l’idée de les voir.

Au matin au réveil les angoisses m’envahissaient et même quand moi et ma douce marchions tranquilles dans le quartier le matin j’étais assailli de pensées pleines de couleur noire, si sombres qu’elles m’enveloppaient, toujours malgré moi. Des phrases, des mots qui m’handicapaient, me freinaient, m’empêchaient de voir clair.

J’étais embrumé.

Et les psychologues que j’ai vus m’apportaient un peu de répit durant la consultation. Mais dès que je sortais le spectre de l’angoisse se jetait sur moi et reprenait son long travail de sape…

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